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Nos actions humanitaires au Guatemala

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Zoom sur nos actions humanitaires au Guatemala

Avec notre partenaire nous sommes présents au Guatemala depuis 1990. Nos actions humanitaires au Guatemala se traduisent par la mise en place des programmes d’aide et de développement notamment dans les domaines de l’éducation et de la santé pour les enfants et les jeunes.

17 604 enfants sont inscrits dans ces programmes d’aide et de développement.

A titre d’exemple, voici  les résultats de quelques actions menées avec notre partenaire au Guatemala :

  • 5000 personnes ont été formées à l’identification des signaux d’alerte durant la grossesse, l’accouchement et la période prénatale
  • 2500 jeunes hommes et femmes ont reçu des cours d’éducation sexuelle
  • Plus de 6000 adolescents et jeunes ont reçu des cours d’éducation sexuelle à l’école publique
  • 2714 enfants ont pu améliorer leurs capacités linguistiques et 2906 enfants ont amélioré leur niveau en mathématiques
  • 874 enseignants ont été formés aux méthodologies permettant de développer l’usage de la lecture et de l’écriture

Le Guatemala en 2024

Éducation

Au Guatemala, en 2013, 23% de la population est encore analphabète, les femmes et les populations indigènes sont plus touchées que les hommes par ce problème.

97% des enfants en âge de fréquenter l’école primaire  sont scolarisés, celle-ci étant gratuite et obligatoire.

Si le nombre de filles inscrites à l’école augmente régulièrement, la parité à l’école n’est pas encore respectée.

Les moins de 30 ans représentent 70 % de la population guatémaltèque, caractérisée par un faible taux de scolarité (seulement 65 % chez les moins de 18 ans, durée moyenne de scolarité : 4 ans).

Les enfants arrêtent l’école par manque d’intérêt, et par nécessité pour la famille que les enfants travaillent.

De plus, la qualité de l’enseignement et le manque d’infrastructures constituent un frein à l’éducation des enfants.

Santé publique

Au Guatemala, le taux de mortalité infantile est de 30 enfants pour 1000 naissances, et celui des mères à l’accouchement est de 140 pour 100 000 naissances.

Le taux d’enfants de moins de 5 ans souffrant d’insuffisance pondérale est équivalent à 13%.

En effet, les maladies infectieuses représentent au Guatemala un risque élevé pour la population : le climat et l’environnement favorisent la dengue et le paludisme ; les maladies diarrhéiques, l’hépatite A et la fièvre typhoïde transmises par l’eau ou la nourriture sont également très fréquentes.

Le nombre de médecins est très faible : 0,9 médecin pour 1000 habitants. A titre de comparaison, en France, ce chiffre est de 3,5.

Les dépenses du gouvernement en matière de santé sont insuffisantes (6,4% du PIB en 2013).

Aujourd’hui, 8% de la population n’a pas accès à une source d’eau potable améliorée et 22% de la population n’a pas accès à un système d’assainissement.

Les populations indigènes sont les plus défavorisées en matière de santé.

Économie

Premier pays d’Amérique centrale par sa population et son produit intérieur brut (58 Mds de dollars en 2014, soit plus du double de la Bolivie), le Guatemala n’en reste pas moins un pays pauvre et très inégalitaire.

L’économie guatémaltèque repose principalement sur les secteurs des services et de l’industrie.

Ses principaux partenaires commerciaux sont les Etats-Unis, le Mexique, Le Salvador et la Chine.

La majeure partie de la population travaille dans le secteur des services. Depuis quelques années, le Guatemala connaît une croissance économique stable (3,4 % en 2014).

Cependant, cette croissance est insuffisante pour améliorer les conditions de vie de la population, en particulier celles des populations indigènes, notamment dans le domaine de la santé infantile et maternelle, de la malnutrition et de l’éducation.

14 % de la population vit en dessous du seuil international de pauvreté (1,25 dollar par jour). Les contrastes ne sont pas seulement économiques et sociaux mais également ethniques et territoriaux : les indices de pauvreté les plus élevés du pays coïncident avec les départements fortement peuplés par les communautés indigènes.